J’ai eu le plaisir d’encadrer des stagiaires de 3ème récemment chez Google. Nous accueillons des enfants, neveux, nièces, cousins d’employés de Google (donc non :-P, je ne prends pas de stagiaire, pas la peine de demander !!!) pour leur faire découvrir les différents métiers que nous exerçons dans l’entreprise. Et il y en a beaucoup !

L’un de mes stagiaires m’a interviewé lorsque je décrivais mon travail de “Developer Advocate”, au sein de Google Cloud. J’ai trouvé cette interview intéressante, et je me suis dit que ça valait le coup de la partager avec vous, en Français (si, si, j’écris en Français parfois sur ce blog.)

J’ai eu le plaisir de préparer et de présenter une conférence de 50 minutes sur le Machine Learning, avec mon ami Didier Girard, lors de la conférence Mix-IT 2014 à Lyon.

50 minutes, c’est court pour présenter un si vaste et passionnant sujet !

J’avais fait un peu de machine learning pendant mes études, mais je n’avais jamais eu l’occasion de m’y replonger dedans depuis. Mais aujourd’hui, avec de plus en plus de données récoltées (le “big data”, l’ “Internet of Things”…), il faut savoir apprendre de ces données, découvrir de nouvelles tendances, prévoir un comportement, classifier ces données… et le Machine Learning est ce qui vous permet de faire tout ça !

C’est l’été, il fait très chaud, et j’ai plein de menthe dans mon jardin… d’où l’idée de faire un dessert rafraîchissant : une glace à la menthe maison !

Un petit problème aussi : je n’ai pas de sorbetière, donc il faut faire sans !

Alors que nous faut-il :

• 25 cl de lait
• une bonne grosse poignée de feuilles de menthe fraîche
• 2 oeufs (2 jaunes et 2 blancs)
• 60 g de sucre en poudre, ou idéalement sucre glace (10 g + 50 g)
• 25 cl de crème liquide (non allégée)
• 1 pincée de sel

Tout d’abord, il faut laisser infuser la menthe dans le lait, dans une casserole, pendant une bonne vingtaine de minutes, à couvert, sans faire bouillir le lait. Cela nous donnerait un bon lait au goût de menthe !

L’autre jour sur Facebook, je suis tombé sur cette liste de “life-hacks”, dont certains sont vraiment malins… et parmi eux, il y avait une recette de brownie dans un mug. Je l’ai retrouvée là, mais j’ai également trouvé d’autres variantes, comme celle de Lindt.

Du coup, par gourmandise et pour faire plaisir à ma fille, nous nous sommes concocté notre propre version de ces deux recettes, que je vous livre aujourd’hui !

Déjà, les ingrédients :

Lors de l’enregistrement du 50ème épisode des Cast Codeurs au Paris JUG, j’ai eu le plaisir de faire un petit “one man show” comique (enfin j’ai essayé) sur notre métier d’informaticien, les tendances du moment, les news et autres scoops, etc.

Cette idée est partie d’une discussion avec Nicolas Martignole il y a 6 mois où l’on s’était dit que ce serait amusant de plaisanter un peu sur notre métier, les technos que l’on utilise, etc, et d’en faire une présentation humoristique. Et encouragé par les Cast Codeurs, je me suis lancé ce défi d’essayer de faire rire mon auditoire. A vous de juger si j’ai réussi ! Et je tiens à dire que les rires que vous entendrez sur l’enregistrement n’ont pas été rajoutés après coup ;-)

Xavier Niel a annoncé en fanfare l’arrivée de Free Mobile après un long suspense et un buzz savamment orchestré. Et j’ai retenu quelques tweets qui m’ont bien fait rire :

• Enfin on peut dire t’as un forfait à 2 balles mon gars
• Quand les mouettes changent d’opérateur, c’est qu’elles pensent qu’elles sont devenues des pigeons #Cantona
• Je ne regarderais plus jamais une pièce de 2€ de la même manière
• #Freemobile 19,99€ en tout illimité. A ce prix là, on va enfin pouvoir se faire 5 #Free et légumes par jour.
• #Free vient de faire plus pour le pouvoir d’achat en 5 minutes que Nicolas #Sarkozy en 5 ans…
• Au resto à midi on a failli laisse un pourboire de 2€. Puis on s’est dit que c’était quand même un mois de forfait…

On verra si Orange se presse de réagir ou s’il voit rouge, si Bouygues bétonne ses offres ou si SFR va se laisser faire…

Warning: Sorry, this time, I’ll blog in French to share my slides of the presentation in French that I made yesterday at the Paris JUG about the PrettyTime library and the GPars concurrency / parallelism toolkit.

Hier soir, j’ai eu le plaisir de retrouver les passionnés du Paris JUG pour parler sur le thème des “petites librairies” utiles que l’on peut utiliser sur nos projets. J’avais proposé de parler de PrettyTime, qui permet d’écrire des dates relatives du genre “il y a 3 minutes” ou “dans 4 jours”. Et j’avais aussi suggéré de couvrir le sujet de la concurrence et de la parallèlisation avec GPars.

Pour mon anniversaire, Stéphanie m’a offert du matériel pour faire de l’aquarelle : un carnet à dessin et un coffret avec 16 couleurs. Comme le temps était plutôt agréable et clément ce week-end, nous avons décidé de pique-niquer auprès du Grand Canal du Château de Versailles. J’ai emmené tout mon attirail, et j’ai réalisé ma première aquarelle, que voici :

Qui dit nouveau boulot, dit être bien habillé. Il faut être classe et élégant. Evidemment, il n’y a pas que le premier jour qu’il faut l’être ! Mais c’est l’occasion de réviser ses classiques, et je pense particulièrement au noeud de cravate.

J’ai une ribambelle de cravates dont les noeuds sont déjà faits. Je n’ai pas besoin de les refaire. Sauf si vraiment je ne suis pas satisfait du résultat. Mais en l’occurence, pour un nouveau costume, avec une nouvelle chemise, j’ai aussi opté pour une nouvelle cravate.

Pour mes premiers essais de peinture à l’huile, j’ai choisi une vue plutôt originale de la région de Vézelay (dans l’Yonne), en prenant le contre-pied des angles classiques qui se tournent vers la basilique. J’ai décidé de peindre le point de vue que l’on voit à partir des hauteurs.

La peinture à l’huile est un médium particulièrement agréable à peindre. Les mélanges des couleurs dans le vif donnent des effets intéressants, de même que la superposition de couches, gras sur maigre, avec un fond bien sec. En effet, j’ai réalisé ce tableau en deux passes : une première pour le fond (ciel, champs et forêt), puis une seconde couche pour les feuillages des arbres, ainsi que le petit village.